Chute de PR et la chasse aux sorcières de Google

C’est le buzz du moment du 26 octobre 2007, il fallait donc bien en parler ici et résumer les articles des collègues et amis dont les sites sont désormais HS ou hors ligne.

Nombre de sites ont vu leur PR diminuer. Ces sites là seraient victimes de la récente chasse à la vente de liens par Google.

Des amis en parlant déjà très bien dans leurs articles, je me permets simplement de faire une revue de presse des liens que j’ai sélectionnés à ce sujet :

Historique de l’article « Chute de PageRank: pénalité Google ? », par Hawkeye (paru sur IndexWeb)

Le réveil doit être difficile ce matin pour Olivier Duffez, administrateur du site et forum SEO WebRankInfo.com sur lequel je suis moi-même modérateur: le site qui arborait fièrement depuis des mois déjà un PageRank 7 sur sa home page, et un PageRank 6 sur la page d’accueil des fora se contente depuis ce matin d’un “vulgaire” PageRank 4 sur toute une série de DataCenters.

Les spéculations vont bon train, puisque depuis plusieurs semaines déjà on voit cette forme de pénalisation affecter de gros sites -principalement américains- qui semblent tous avoir un point en commun: la fourniture ou la vente de liens à vocation de positionnement.

Les “Paid Links”, l’achat de liens est dans le collimateur de l’équipe de lutte contre le Spamdexing de Google, sous l’égide du désormais célèbre Matt Cutts. En avril dernier, Matt Cutts expliquait d’ailleurs comment signaler des liens achetés, sur son blog.

Il est encore trop tôt pour affirmer avec certitude que cet effet est une pénalité infligée à WebRankInfo. Il est également trop tôt pour affirmer que si pénalité il y’a, c’est pour avoir vendu des liens…

Le temps nous en dira plus… mais quel est votre avis? …et craignez-vous pour vos propres sites?

et aussi l’historique de l’article : « Pénalités Google: ton PageRank tu ne vendras point », par Hawkeye (paru sur IndexWeb)

Un point sur la situation et les événements qui ont marqué la journée d’hier 24 octobre 2007.

Une mise au point avant de commencer : je ne souhaite pas citer les parties concernées par la vague de pénalités de PageRank qui a sévi hier. C’est inutile et non constructif.

Que s’est-il donc passé hier?

Plusieurs “gros” sites web francophones se sont vu réduire leur PageRank (affiché dans la toolbar Google), de PageRank 8 vers PageRank 5 ou de PageRank 7 vers PageRank 4.
En analysant attentivement ces sites, il fut assez facile de remarquer que tous font partie d’un même “business” d’échange de liens entre “gros sites”. Ces réseaux organisés, discrets et réservés aux bien informés (et bien rankés) sont dans le collimateur de Google depuis plusieurs mois.

Il faut donc voir ces pénalités d’un degré plus haut: ce n’est pas “un site” qui est visé, mais “un regroupement”. Google a été en mesure d’identifier un “réseau”, et en a pénalisé les participants en réduisant le PageRank affiché par la toolbar Google sur leurs pages principales.

Mais à quoi ça ressemble, tout ça, précisément? A quoi on reconnait ces liens ?
Eh bien ça ressemble à ceci:

reseaux-echange-liens-2.jpg

(suppression volontaire des couleurs et logos masqués par Denis)

Il ne faut pas être devin ou grand maître Gourou SEOlogue pour comprendre ce que ces placards de liens textes ciblés vers des pages profondes (pages “produits”) de sites tiers, en provenance de homepages à fort potentiel, (ou également de pages internes dans certains cas) peuvent avoir comme effet de boost pour le “client”.

J’ai pu remarquer sur beaucoup de sites également des liens en footer (pied de page) qui n’étaient pas mis en valeur comme c’est le cas ci-dessus, mais qui étaient aussi des liens profonds, ancrés “psp”, “voiture occasion” ou “TV LCD”. Tous ne sont pas encore “tombés”, il reste peut-être des surprises à venir.

Voici donc ce qui a été puni hier. A juste titre il faut le dire, et après avoir prévenu puisque depuis avril déjà, Google crie haut et fort que toute tentative de manipulation des résultats sera sanctionnée.

Je ne pense pas qu’il faille céder à la tentation de mettre Google sur le banc des accusés, comme certains se sont empressé de faire, l’accusant d’abus de pouvoir ou d’abus de position dominante (terme très à la mode, mais trop souvent utilisé n’importe comment). Il n’est pas nécessaire non plus de sauter sur l’occasion pour dire “c’est pour vendre de l’AdWords”, ou encore la plus grosse imbécilité que j’ai lue hier: “et les AdSense, ils les pénalisent pas ?” (Les liens AdSense c’est du JavaScript, non suivi, aucune influence sur le positionnement).

Google n’apprécie donc pas qu’on lui force la main, et fait un tour de force en altérant le PageRank affiché pour les sites “tricheurs”.

Attardons nous sur cette pénalité:

Les sites pénalisés ne semblent pas avoir perdu en positionnement: ils sont toujours là, toujours crawlés et indexés, toujours positionnés autant pour ce qui est de leur page d’accueil au PageRank raccourci que pour leurs pages internes. Il n’y a donc pas d’altération de potentiel.
Cela démontre une fois de plus que le PageRank affiché par la toolbar Google ne reflète pas le potentiel d’une page. Mais c’est un autre débat.

La sanction semble donc se limiter à une sanction “bonnet d’âne”: on ne perd pas de points, on ne prend pas de gifle, mais on est vu par tout le monde avec ce ridicule couvre-chef. C’est une sanction purement graphique, visuelle. Cette sanction est le fruit d’une intervention manuelle, pas d’un effet algorithmique.

La conséquence immédiate est évidemment une perte de confiance de la part de ceux qui achetaient ou négociaient/échangeaient des liens en se basant sur le PageRank comme sur un indicateur boursier. Qui va vouloir débourser 500€, 1000€ ou plus par mois pour des liens PR4 ?
A ce titre, une fois de plus, je dis “bien vu”: on ne pénalise pas le business “loyal”, en n’affectant pas le positionnement du site, mais on pénalise son business “underground” en le ridiculisant auprès des partenaires potentiels de ce business qui, rappelons-le, est contraire aux guidelines Google, et nuisent à la pertinence des résultats. Google protège son fonds de commerce à juste titre.

Une seconde sanction est-elle envisageable!?

Depuis plusieurs mois déjà, aux Etats-Unis, de nombreux sites (principalement des annuaires) qui vendaient ouvertement du positionnement se sont vu pénalisés, non pas par une chute de PageRank ou un retrait de l’index (black list), mais par l’annihilation du potentiel qu’ils transmettent (leur “link juice“).
Ces annuaires ont purement et simplement été stérilisés, comme castrés!

L’avenir nous dira si Google a appliqué cette pénalité à ces sites également.

En conclusion…

L’échange de liens hors thématique, ouvertement dédiés à manipuler les résultats de recherche Google, représente un risque réel pour les webmasters peu scrupuleux. Ici, Google s’est attaqué à des “gros poissons”, pour l’exemple et pour le buzz certainement, mais en y réfléchissant bien, ce ne sont pas quelques sites PR7/PR8 qui font le plus gros des malversations: un million de sites PR5 est bien plus puissant qu’une poignée de PR7 !

A l’avenir, je ne serais pas étonné que Google continue cette chasse aux sorcières, et qu’il affine son algo de détection pour aller chercher la petite bête plus “profond” dans la masse de sites.

Une chose est certaine : ils ont dit qu’ils allaient le faire… ils l’ont fait. La menace reste à prendre au sérieux.

  • Google confirme : vendre des liens peut diminuer votre pagerank et faire chuter votre positionnement, par Sergi (Moteurs News)

Google confirme : vendre des liens peut diminuer votre pagerank et faire chuter votre positionnement (publié le 8 octobre 2007)

Ceux qui suivent un peu l’actualité du référencement et lisent les forums SEO, auront sans doute vu ces derniers temps quelques billets ou messages concernant une baisse soudaine de Pagerank pour certains sites.

Même si l’on savait depuis longtemps que la vente et l’achat de liens étaient mal vu par Google, il y avait encore peu d’informations et beaucoup de spéculations sur ces événements, certains y voyant simplement les prémices d’une mise à jour du Pagerank (celui de la GoogleBar).

Aujourd’hui, on y voit un peu plus clair avec une confirmation de Google.

Par exemple, Andy Beard avait noté que le PR de son site venait de passer de 5 à 4. Pourtant, il a fait pas mal parler de lui ces derniers temps, et a acquis de nombreux liens de bonne, voire d’excellente qualité en provenance de site à fort PR. La logique aurait voulu que si variation il devait y avoir, elle se fasse à la hausse.

Mais Andy Beard est également connu pour vendre des liens, et rédiger des billets rémunérés pour y inclure des liens, des « paid reviews ».

Danny Sullivan a également noté certaines baisses de PageRank, comme celui de « The Stanford Daily » lui aussi connu pour vendre des liens PR9 (350 dollars par mois pour ceux encore intéressés) et qui passe de PR9 à PR7. Et une baisse de 2 points de PageRank à ce niveau, ce n’est pas anodin.

Il a donc directement demandé à Google ce qu’il en était. Et comme c’est Danny Sullivan, il a eut une réponse.

C’est donc officiel, des sites peuvent voir leur PR affiché diminué parce qu’ils font commerce de liens.

they confirmed that PageRank scores are being lowered for some sites that sell links.

Ils ont confirmé que les PageRank sont diminués pour certains sites vendant des liens.

Ils précisent également que cet ajustement n’est pas automatique et est fait « à la main » suite à une vérification humaine pour éviter les faux positifs.

Jusqu’à maintenant, les sites qui vendaient des liens s’exposaient principalement à voir la capacité de leurs liens à passer du « poids » diminuer. Ce n’était donc pas une pénalité réelle, simplement les acheteurs risquaient de payer cher pour un lien qui ne leurs apporteraient rien au niveau référencement.

Google a également confirmé qu’une baisse du PageRank affiché n’était pas la seule sanction, le positionnement de ces sites dans les résultats de recherche pouvaient lui aussi se trouver affecté par une pénalité. Et ça, c’est moins drôle.

In addition, Google said that some sites that are selling links may indeed end up being dropped from its search engine or have penalties attached, to prevent them from ranking well.

On peut comprendre que le PageRank soit diminué, cela peut être fait dans le but de dévaluer la valeur d’un lien depuis ce site, et faire baisser l’incitation au commerce de liens : Un site PR7 vendra ses liens moins cher qu’un site PR9 et il sera sans doute moins attractif pour les acheteurs potentiels.

Pour ce qui est d’une pénalité de positionnement, c’est un peu plus délicat.

Certains sites réputés, vendent des liens ouvertement. Un exemple fameux, The New Scientist, célèbre revue scientifique dont le site est PR7 et qui ne fait pas dans le détail avec des liens sur sa page d’accueil vers des sites divers et variés.

Et comme le fait remarquer Danny Sullivan, ce genre de sites sont difficile à pénaliser en termes de positionnement. Ce sont des sites réputés, de ceux communément appelés des authority sites. Leur présence dans les pages de résultats est légitime, et l’internaute effectuant une recherche s’attend à les y trouver. Ne pas les y inclure irait à l’encontre des objectifs de Google : la meilleure pertinence possible.

L’hypothèse est donc que ces authority sites ne soient pas pénalisés en terme de positionnement, mais que des plus petits sites, dont la pertinence estimée par Google serait moindre, ne bénéficient pas de se traitement de faveur et voient leurs positions chuter dans les pages de résultats.

C’est un nouveau tournant dans « la guerre » de l’achat de liens entre Google et les webmasters, et nul doute que cela ne vas pas plaire à tout le monde et qu’on va en entendre parler…

Google Dance, chute du Page Rank ou bug du géant ? par Kevin Brustis paru sur Top-Logiciel le 24/10/2007

Sites web

Peut-être l’avez-vous constaté ces dernières heures, de très nombreux sites ont vu leur indice de popularité, communément appelé Page Rank, diminuer très fortement. Alors, serait-ce une Google Dance, une pénalité pour certains sites, ou tout simplement un bug du géant de la recherche ?

Pour expliquer clairement le fait, si vous n’avez pas véritablement de connaissances poussées en webmastering, le PageRank (PR) est un indice allant de 1 à 10 indiquant la popularité d’un site web. Si un site web possède de nombreux liens pointant vers lui, Google attribue une note élevée.

Seulement, de nombreux référenceurs et webmasters pratiquent l’achat de lien. Ils peuvent, en effet, acheter des liens à des sites à fort PR (6, 7, voire 8), afin de faire monter leur indice de popularité, afin que leur site connaisse une envolée niveau référencement. Il est à noter, tout de même, que désormais, le PageRank n’est plus un indice très important, du fait qu’il n’a semblerait-il plus d’incidence directe sur le positionnement d’un site web, dans les résultats de recherche.

Cette nuit, le géant de la recherche, notre ami Google, a procédé à un déclassement de ce Page Rank. Les sites à fort PR, c’est le cas de nombreux confrères (GNT, Silicon, etc.) ont, en effet, connu une baisse significative de leur Page Rank : passant de 7 à 4 sur 10. Egalement, le site francophone dédié au référencement, WebRankInfo, a lui aussi vu son Page Rank baissé de 3 points.

Alors, que se passe-t-il réellement ? Nous ne pouvons pas véritablement parler d’une mise à jour du PR, ou d’un quelconque export, du fait que des sites relativement jeunes n’ont pas vu leur indice augmenter ces derniers jours. Nous pouvons néanmoins percevoir que les sites ayant connu ce déclassement d’indice (qui n’a, semblerait-il, pas d’incidence directe sur leur référencement), pratiquent le commerce de vente de lien. Ainsi donc, cet impact, ce véritable buzz de Google a-t-il pour simple but d’intimider les webmasters ? Le géant de la recherche souhaite-t-il améliorer le web, et obtenir une meilleure clarté dans les résultats ? Google souhaite-t-il déclasser de nombreux sites -pas seulement les plus importants-, ou s’agit-il simplement d’un bug ?

Selon certains blogs, tel que Berszerkers.szarah.net, bien plus qu’une simple punition ou qu’un message passé à l’ensemble de la communauté SEO, ce déclassement serait en réalité une remise à niveau de l’étalonnage du PR visible…

Nouvel étalonnage pour le PR ?
La mise à jour du PR se fait attendre.
Un certain nombre de sites ont vu diminuer leur PR affiché.
La parano aidant, la tentation est grande d’avancer qu’il s’agit de pénalités pour vente de liens, surtout que c’est dans l’air du temps.
On parle d’intimidation, de punitions, de message fort lancé à la communauté SEO.

Mais s’il s’agissait d’autre chose ?
D’une remise à niveau de l’étalonnage du PR visible ?
Ou plus exactement : du premier véritable étalonnage du PR ?
Je vais essayer de préciser ma pensée.

Le top visible, c’est le PR10.
C’est une valeur absolue alors que le PR a pour vocation de permettre la comparaison.
Prenons le w3c. Il a un PR10.
Il est certain que si le PR devait être affiché au niveau de sa valeur réelle, le w3c disposerait d’un PR égal à 11, 12, 13 ou même plus.

Les sites à vraiment gros PR sont donc défavorisés dans la comparaison (et l’internaute compare).
Si on veut conserver un certain réalisme à l’échelle de onze points (de zéro à 10 : 11 points), il convient de l’étalonner.
Pour ce faire, il existe différents moyens dont le plus efficace serait de rendre l’échelle mobile.

La page qui a le meilleur de tous les PR : PR10.
C’est l’étalon.
Du coup, si cet étalon méritait un PR13 (disons) et qu’on l’affiche à 10, tous les autres dégringolent. Ou en tout cas sont recalculés.

De plus, l’étalonnage mobile permettrait de faire varier relativement le PR de toutes les pages , c’est-à-dire de mettre en place une concurrence réelle entre toutes les pages que compte le Web.
Une page monte à Tokyo, une autre descend à Panama …
On a une masse globale de PR, calculée en temps réel et en croissance continue, et on la distribue en temps réel.
C’est une Bourse !
C’était impossible sans une extraordinaire puissance de calcul mais GG en dispose à présent.

Sans doute que je me trompe mais j’ai pensé à cela en observant :
– que la mise à jour du PR traîne comme c’est pas possible et que ça sent plus le buzz pour une innovation que la condamnation à mort;
– que de gros sites ont perdu du PR sans avoir mérité de pénalité;
– que GG tape rarement sans s’expliquer;
– que GG n’a aucun intérêt à tuer sa création fondatrice qu’est le PR;
– que la hiérarchie de 0 à 10 est devenue insatisfaisante;
– qu’il est temps de redynamiser le PR;
– que les cormorans noirs sont revenus et ça, c’est un signe ! 🙂

C’est juste une hypothèse de salon, n’est-ce pas ? Pas la peine de s’esclaffer.
De toute façon, ça viendra bien un jour, le PR relatif.

Selon d’autres sources, ce déclassement monterait que l’algorithme de Google concernant le Page Rank est toujours d’actualité, et que remettre à neuf les données pourrait permettre une envolée plus spectaculaire par la suite… Affaire à suivre donc !

Il s’avère qu’il s’agit, au final, bien d’une Google Dance. Google est en train de mettre à jour, et ce depuis quelques heures, son indice de popularité. Celui de Top-logiciel a été divisé par deux, comme tous les sites jugés importants par le moteur de recherche. A noter que cette Google Dance semble favoriser les nouveaux sites (avec, pour certains, des PR 6, alors qu’ils sont en ligne seulement depuis quelques semaines) et que les anciens semblent être défavorisés avec des chutes de 1 à 3 points selon les cas.

  • C’est l’automne, les PR tombent… , par Olivier Andrieu (Abondance) par le 25 octobre 2007

C’est l’automne, les PR tombent…

Google avait prévenu, on en avait parlé sur ce blog lors d’un débat animé il allait fortement sanctionner les sites qui, selon lui, avaient outrepassé ses règles de bonne conduite en termes de vente de liens. Et c’est a priori ce qui est arrivé… Depuis quelques jours, de nombreux sites ont vu des chutes de leur PageRank sur le Web, tout autant anglophone que francophone, la plupart du temps des pertes de 2 à 3 « points », de PR7 vers 5 ou 4. Et les sites inciminés ne sont pas des moindres puisqu’on compte parmi les « victimes » des sites comme ceux du Washington Post, de Forbes, des sources spécialisées en référencement comme Web Rank Info, Seroundtable, Seachengineguide, Searchenginejournal, et de très nombreux autres…

Pourtant, il ne semble pas que ces sites soient actuellement pénalisés dans leur positionnements sur leurs mots clés « phares ». Est-ce simplement une action de communication de la part de Google, une façon de dire « si vous vendiez des liens au prorata de votre PageRank, nous vous montrons que nous pouvons tout à fait faire baisser celui-ci de façon artificielle dans notre barre d’outils, donc à quoi bon ? »… Ou cette baisse est-elle la conséquence d’une nouvelle façon de calculer le PageRank ? Ce qui est certain, c’est que l’avenir dira si :
– Cette baisse va durer dans les semaines qui viennent.
– Les positionnements dans les pages de résultats du moteur en seront touchés.
– Google va communiquer sur cette action et sur la façon dont il détecte la vente de liens.
– Si le moteur de recherche sanctionne uniquement la vente mais également l’achat de tels liens.
– Etc.

Pour l’instant, il est difficile de tirer une quelconque conclusion, si ce n’est qu’il devient de plus en plus urgent que Google adopte une position encore plus claire sur ce qui est permis et ce qui ne l’est pas… Et que les sites web cessent de type d’activité commerciale.

2 réflexions sur “Chute de PR et la chasse aux sorcières de Google”

  1. Sympa l’image ! 😉 Chasse aux sorcières ? Oui, si l’on considère que certains sites qui ne vendaient pas de liens (disent-ils) ont vu aussi leur PR baisser. Sont-ils nombreux, c’est autre chose… Il ne faut pas toujours croire ce que disent les webmasters !

  2. Langouet Guillaume

    effectivement beaucoup de problème par rapport à google …

    j’ai, été sand box 6 moi x(

    maintenant je revien et disparait de temps en temps ,

    très bizarre …

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